J’en suis convaincu et je ne suis pas le seul, avec l’automatisation des tâches répétitives, les travailleurs ouvriers, salariés, employés, cadres et autres professions libérales et indépendants seront de plus en plus sollicités pour leur capacité à résoudre des problèmes complexes et non pas à appliquer des recettes toutes prêtes vieilles de plus d’un siècle pour certaines.
Et donc pour rester employables, ils devront se doter de nouvelles compétences radicalement différentes de celles mises en avant au cours du XXe siècle en plein essor industriel.
Des compétences plus cognitives et moins techniques…
Quatre compétences seront indispensables, les 4c pour faire simple, et devraient déjà être acquises en priorité mais il est difficile de faire bouger des mammouth éducatifs et de leur demander d’anticiper ces problématiques…
Elles comprennent la créativité et l’esprit critique, pour trouver des solutions innovantes, ainsi que la communication et la coopération, pour favoriser le travail en groupe et le développement de l’intelligence collective.
On retrouve ce développement dans le livre que Jérémy Lamri vient de publier intitulé « Les Compétences du XXIe siècle » et que je partage totalement.
La « capacité à travailler avec les machines » s’ajoute à ces quatre compétences capitales.
C’est clé, car les machines vont de plus en plus assister notre travail au quotidien. Ce qui pose aussi la question de la confiance qu’on leur accordera.
Et ce n’est pas gagné car d’expérience c’est 4/5 c sont des compétences sur lesquelles de nombreux grands groupes communiquent mais face auxquelles leurs DRH et leurs équipes sont totalement incompétentes et/ou en résistance quand il faut les mettre en place dans le cadre d’une politique RH innovante 😊 conservatisme quand tu nous tiens…